Une histoire de portes.[/
Par Sandrine.
Salut !
Tout d'abord désolée mais ce n'est pas une histoire de chat, et c'est une histoire assez courte (qu'une page et demi sur word).
J'espère que ça vous permettra d'avoir un avant gout de mon style d'écriture.
Je tiens à préciser que ça part de mon histoire le fait qu'une porte s'était ouverte en grinçant comme ça arrive très souvent si on ne la pousse pas à fond, et il y avait du vent d'où les autres bruits. Tout le reste à été inventé.
N'hésitez pas à commenter ! Les critiques font avancer.
Sans plus attendre, voilà mon histoire.
Une histoire de portes…[/
Dans l’après-midi du 24 Juillet 2009.
J’étais seule, du moins chez moi car je discutais avec des amis via MSN.
Alors que je visionnais des vidéos et que je discutais avec mes amis, en particulier Laura puisque les autres étaient absents ou bien déconnecté, j’entendis soudain un bruit de porte, la porte de ma maison menant au garage qui a toujours été grinçante lorsque l’on s’amusait à l’actionner.
En ce jour il pleuvait, le tonnerre menaçait de s’abattre dans les champs à quelques kilomètres de là, et des rafales de vents arrachaient les feuilles des arbres. Sans parler de la pluie qui s’abattit soudain dans le jardin.
Je fis par de mes inquiétudes à Laura quant à la porte qui s’ouvrit toute seule.
Je devais pourtant affronter mes peurs si je voulais mettre le linge dans le sèche-linge.
Ce n’était pas la première fois que j’avais cette sensation de ne pas être seule chez moi, d’être épié… Et pourquoi je décidai de tailler d’abord un crayon d’environ 15 centimètres, puis ensuite je taillai le reste de mes crayons à porter de mains, même si ils ne mesuraient au maximum 4 centimètres ces-derniers.
Laura tenta de me rassurer en prétextant que c’était là le vent que j’entendais et non autre chose, et que ça le faisait très souvent chez elle.
Quand je lui rétorquai que la porte ce situant au centre de la maison par rapport aux murs externes, et que donc je devrais entendre plus de bruit ici dans le bureau plutôt que là-bas. Car lorsque j’avais voulu m’approcher pour vérifier le bruit s’était intensifier et je rebroussai chemin.
Pour mon amie cela ne suffisait pas, il fallait qu’elle rajoute un : « Hey, c’est quoi cette main blanche sur ton épaule ? Elle disparaît ! »
Je lui signalai que ce n’était pas gentil, surtout que de un, je n’avais pas branché ma cam, et de deux, si une main s’était posée sur mon épaule je l’aurais sentie quand même.
Mais elle me rassura aussitôt que si y avait un fantôme par exemple il serait gentil. Mais j’étais persuadée que s’il y avait vraiment une autre présence ici c’était surtout un voleur ou un kidnappeur. Enfin depuis toute petite j’ai toujours eu une imagination débordante. Entre la vieille sorcière qui me harcelait puis me kidnappait lorsque mes parents avaient le dos tourné, dans mes rêves, sans compter qu’un jour nous avions été cambriolé un jour où je me souviens que le tonnerre gronda finalement pendant la soirée, avec un peu d’imagination, et un éclair aveuglant, pendant l’espace d’une seconde vous aviez l’impression d’apercevoir devant vous une silhouette d’un criminel.
Toutefois, je mis la musique à fond chez moi, ce qui m’empêchait d’entendre le bruit du vent ou quoi que ce soit d’autre.
Peu après, je descendis mettre en route le sèche-linge, et par la même occasion je pus vérifier qu’il n’y avait réellement personne. Grand soulagement quand je racontai sa à Laura. Elle me félicita d’avoir osé affronter la porte.
Mais mon histoire ne se finit pas si simplement que ça, voilà ce qui ce passa lorsque je fus au niveau inférieur.
Alors que je faisais dos à la porte du garage, une autre porte encore toute aussi grinçante, celle-ci s’ouvrit soudain de quelques centimètres dans un grincement à se glacer d’effroi. Après l’avoir de nouveau enfoncée au maximum, et certifiant qu’elle ne pouvait se rouvrir seule, j’allumai la lumière même si les faibles rayons du soleil permettait d’y voir dans cette pièce et enfin je me rendis dans la buanderie et je mis en marche le sèche-linge.
Heureusement j’entendis par la petite fenêtre la voix de mes voisins qui s’échappait de leur jardin. Telles furent mes pensées : « Si l’on m’agresse ici au moins on m’entendra cirer à l’extérieur, mes voisins sont même pas à cinq mètres de moins »
Je me dépêchai néanmoins dans la hâte, puis je refermai la porte et j’éteignis les lumières à reculons.
Finalement, j’aperçu la pluie et le vent, du moins les feuilles qui bougeait au rythme de ce-dernier, par la grande fenêtre du salon et je me réinstallai devant mon ordinateur afin de raconter cette histoire à Laura.
Telles furent ces réactions : « Mdr, je vois bien la scène, lol ! »
J’oubliai de signaler que je pris dans ma folle aventure un crayon pointu à souhait que j’avais patiemment taillé (voir le début de l’histoire).
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Sam 25 Juil - 15:21
